2024
- L’universitaire ex-néo-post-situ Matthieu Amiech nous accuse, dans son livre auto-édité « L’industrie du complotisme, mensonges d’États, réseaux sociaux et destruction du vivant » (La Lenteur, 04.23, pp. 209-210) de promouvoir la nation comme « espace privilégié de la démocratie » au détriment de « l’échelle villageoise », reprenant de manière troublante, et mot-pour-mot, ce commentaire anonyme d’août 2019 auquel nous avions pourtant pris la peine de répondre en détail. Il fait également mine d’ignorer notre projet de société, écrit il y a maintenant dix ans qui discute très précisément de la démocratie communale (et qu’il se proposait alors d’éditer...). Comme quoi, les États n’ont pas le monopole des mensonges, ni les « réseaux sociaux » des ragots et de la malveillance (ou de l’esprit de clocher...) et il semblerait que l’intelligence puisse être plus rapidement détruite que le vivant, derrière les plus beaux sentiments du monde.
- Des nanars prépubères se font défoncer leur vitrine en se faisant traiter de fachos. En bons apprentis stalino-gauchistes, ils expliquent quelques jours après que, en fait, c’est nous les fachos, se référant au seul titre de notre dernière brochure (le temps est loin où les commissaires politiques lisaient au moins les quatrième de couverture). Rien de nouveau.
2023
- Les bo-bolchéviques ultra-connectés en appellent au débat contradictoire (mais entre eux), à l’esprit d’ouverture (mais entre eux), au « vivre-ensemble » (mais entre eux) — du coup, on se retrouve comme au Liban : ensemble et séparé, ou viré à coup de pompes, mais tout ça c’est à cause des nazis et des israéliens bien sûr.
- Isabelle Kersimon, que l’on avait connue mieux inspirée, cite mal et à contre-emploi notre « Cartographie de l’islamogauchisme en France » de 2018 dans son livre « Les mots de la haine - Glossaire des mots de l’extrême droite » (éd. Rue de Seine, 04/2023) et cela méritait bien quelques explications.
- Vraiment dommage que les copains de L’En Dehors n’aient pas pris connaissance des idées de Quentin Bérard avant de les discréditer...
- Nous confirmons que Mme Florence Bergeaud-Blackler est menacée par les islamistes, nous lui confirmons également notre solidarité totale tout en reconnaissant que le pillage qu’elle opère de notre travail est absolument digne d’une universitaire assermentée du XXIe siècle. Par contre, nous nous réservons sur sa qualité d’anthropologue.
- Avec un peu de retard, nous nous excusons auprès de nos lecteurs pour le fait que cette crapule d’Éric Hazan nous cite dans la note 22 de son opuscule La dynamique de la révolte (La Fabrique, 2018). Nous n’y sommes non plus pour rien dans le double acte manqué qu’il commet en renvoyant d’abord à une page qui n’existe pas (« https://collectiflieuxcommuns.fr/sp...;»), ensuite en croyant citer via cet embryon de référence une interview de C. Castoriadis (« Considérations sur la Grèce moderne »), alors qu’il renvoie en réalité à une de nos analyse qui invalide toutes ses affabulations crypto-staliniennes ; « Le mouvement des places en Grèce ». Quant à la bêtise de l’idée qu’il formule ( : comme la vie politique à Athènes s’est arrêté en 404 av. JC, il n’y a jamais eu de vie politique en Grèce antique), c’est proprement consternant.
2022
- Nous sommes tout à fait d’accord avec Dominique Méda, ce que montre notre cartographie des mouvances anti-Lumières est « Effrayant ». Mais que ne s’impatientent pas Nicolas Cadène, Francois Burgat, Nagib Azergui et tous leurs petits copains d’Al Kanz, d’ADM du STRASS ou d’ailleurs, tout cela n’est qu’un début...
- Certes, cela fait un an déjà, mais, comme les nanars censeurs refusant de reconnaître que « Le discours de l’écologie (dé)coloniale est une arnaque totale » admettent que la « notion d’écologie décoloniale, en soi, mérite qu’on en discute sérieusement », on est en droit d’attendre qu’ils le fassent — et idem pour cet « islamo gauchisme qui existe quand même »... Pris entre les fossiles et les marteaux.
2021
- Un mahométant découvre Lieux Communs et se livre à un exercice d’admiration contrariée — singulier — tandis qu’un autre regrette, plus franchement, la Charia (mais pas le capitalisme).
- Le Politburo des nanars ne veut pas que l’on touche à ses amis (anti-)indigénistes, (dé)coloniaux et islamistes et fait savoir, à grands renforts d’anathèmes, que l’intelligence ne passera pas par eux. C’est consternant de bêtise.
- Un internaute taquin poste chez les nanars excités d’Indymedia Nantes notre texte « Menacer Zineb », qui dénonce notamment le violent sexisme et le racisme intra-musulman dont est victime l’apostate. Verdict de nos libres-censeurs : « Ce texte anti-féministe/TPG (Trans-Pédés-Gouines) et anti-antiraciste n’a rien à faire ici »... On va dire que la modération est confiée à un algorithme, hein ?
- Quand un disciple repenti d’A. Gorz se repent également et confusément d’avoir apprécié C. Castoriadis, au nom, entre autre, du « déterminisme », on se demande s’il n’en est jamais sorti pour aller voir du côté de la réalité (au moins des textes).
2020
Rien de bien intéressant à signaler.
2019
- Claude Guillon, que l’on a connu plus libre d’esprit, s’est fait violemment rappeler à l’ordre par un petit commissaire politique pour avoir relayé notre première brochure sur le mouvement des Gilets jaunes. Bilan : il fait contrition mais la laisse à disposition…
- Nous voilà aux côtés de Houria Bouteldjah et de la « Manif pour tous », antisémites et puritains aux côtés d’Onfray, de Michéa et de Finkielkraut... Il faudrait pouvoir en rire... Pauvre époque...
- Revoilà Yves Coleman ! Comme il déteste les gilets jaunes (qui sont « jaunes » — dixit), il ne pouvait apprécier notre brochure à eux consacrée : nous voilà donc traités de raciss’, faciss’, d’esstremdrouate et de mangeurs d’enfants. Consternant. On attend toujours qu’il réponde à nos arguments de 2011...
2018
- Olivier Cyran fait savoir qu’il n’est pas content du tout. Grosse colère, donc. On prend note.
- Une copine « antifa » s’étrangle de nos propos sur les ondes de Radio Libertaire, mais oublie d’argumenter... C’est ballot.
2017
Relâche (encore)
2016
Relâche (enfin presque)
2015
- Les kamarades du front n’ont pas l’air contents de ce que l’on a écrit sur « l’après-Charlie », mais on cherche en vain un seul argument derrière les insultes.
- Les commentaires des Soeurs Thérésa nantaises ont bien raison de ne rien lâcher : le réel ne passera pas (d’ailleurs il n’a pas de visa) !
- Que nos Queer de Combat ne désespèrent pas : l’islamisme passera et illes aussi.
- Modérantistes, modérantistes... Il faudrait que Non-Fides lise non seulement le reste de nos textes sur l’islamisme, mais également ceux portant sur nos positions plus générales.
2014
- Étienne Chouard devrait simplement lire notre texte « Contre la Constituante », avant de tenter une « réponse » lapidaire, tout en préparant en catimini un contre-argmentaire.
2013
- La droite nationaliste et les bigots musulmans devraient prendre connaissance de nos orientations.
2012
- Les internautes mahométant gagneraient à parcourir cet article du Monde « Merah, »un monstre issu de la maladie de l’islam« »
- Nous ne pouvons que proposer à notre valeureux critique de la dite « Gauche Communiste Internationaliste » de lire le texte de sympathisants "Deux questions qui fâchent : l’égalité des revenus et la division du travail
- Il serait bon que le bloggeur amateur de C. Castoriadis, Gwénaël Glâtre prenne connaissance de son texte « La renaissance démocratique devra passer par la création de nouvelles formes d’organisation politique »
- Les intrépides oisifs chasseurs de nazis dits « Luftmenschen » pourraient, avant d’écrire, prendre connaissance du texte rédigé à l’attention de leur éditeur du moment « La confusion occidentale - Des fondements historiques et anthropologiques des mouvements d’émancipation et de leur ruine dans le gauchisme contemporain. »
- Il est difficile de comprendre les tenants et les aboutissants des propos de l’auteur de « De certains usages du catastrophisme » qui incriminent Guy Fargette tout autant que Cornelius Castoriadis via notre site. Peut-être, finalement, retrouve-t-il les thèses que nous exposions rapidement dans « Catastrophes, catastrophismes — Désirs d’en finir et haine de la société ».
2011
- Nous ne pouvons que conseiller à notre malveillant commentateur québécois de la dite « Gauche Communiste Internationaliste » de relire plus attentivement le texte, et la brochure dans laquelle il s’insère, "Octobre 2010 : une lutte à la croisée des chemins"
- Il faudrait que M. Coleman tente courageusement de répondre aux arguments de notre texte qui lui était destinés, « La confusion occidentale - Des fondements historiques et anthropologiques des mouvements d’émancipation et de leur ruine dans le gauchisme contemporain ». D’une manière générale, lire in extenso les textes qu’il attaque suffit amplement à poser le personnage, tout autant que se s’aperçevoir qu’il a modifié son texte initial pour désamorcer nos critiques...